Un peu de musique.
Je vous avais dit que je vous parlerai de la musique, parce que la musique tiens une grande place dans ma vie. Et bien voilà, je vais vous parler un groupe de chanteurs absoluments fabuleux que certains d'entre vous connaissent peut-être : Chanson Plus Bifluorée ! Mais, je vous en reparlerai sans doute plusieurs fois.
Cette fois-ci, je vais vous présenter une chanson extraite de leur premier album, un petit bijou : Le Prince de l'amûr. Sur ce premier disque, ils étaient encore quatre (Robert Fourcade, la basse, est décédé peu après). Je vous laisse vous délecter de ce bijou, et je vous met le texte en dessous, parce que ça vaut vraiment le coup de savourer les paroles.
Et voici donc les paroles :
Le Prince de l'amûr
(Paroles : Sylvain Richardot)
Le sourire prompt et la fesse belle
Je m'en vais courir la gente damoiselle
Moult damoiseaux n'ont pas ma fière allure
Je suis Godefroy le prince de l'Amûr
Le prince de l'Amûr
Je m'en vais glaner quelque émotion coquine
Quelque attouchement en plein milieu d'un champ
Je ne suis pas rude mais ma force est tranquille
Mon coeur est serein et mon outil docile
Et mon outil docile
(Refrain)
Car je suis le prince de l'Amûr
Le prince de l'Amûr
Que tu sois brune ou rouquine
Tu ne peux que m'aimer toujûrs
Tout a commencé au palais des reines
Des plus belles dames j'écoutais le chant
Elles me regardaient, esquissaient un sourire
Et moi je n'avais pas encore seize ans
Pas encore seize ans
Elles m'ont initié aux plus longues étreintes
A l'instant crucial qu'il faut retarder
Ah que j'ai peiné, la chair est si subtile
Qu'il faut des années pour la bien maîtriser
Pour la bien maîtriser
(Refrain)
Dans bien des repas c'était sous la table
Que se déroulait la conversation
Un coup de talon ou la douceur d'un voile
Tout était prémisse du premier frisson
Oui du premier frisson
Un peu de bon vin, quelques friandises
Une rose, une pensée et elle défaillait
Je donnais mon bras, elle se sentait conquise
La nuit promettait d'être bien étoilée
D'être bien étoilée
De tous les pays j'ai connu les femmes
Femmes de Paris ou bien d'Italie
Vous êtes absentes mais vous fûtes amantes
Jamais Godefroy ah ne vous oubliera
Ah ne vous oubliera
(Paroles : Sylvain Richardot)
Le sourire prompt et la fesse belle
Je m'en vais courir la gente damoiselle
Moult damoiseaux n'ont pas ma fière allure
Je suis Godefroy le prince de l'Amûr
Le prince de l'Amûr
Je m'en vais glaner quelque émotion coquine
Quelque attouchement en plein milieu d'un champ
Je ne suis pas rude mais ma force est tranquille
Mon coeur est serein et mon outil docile
Et mon outil docile
(Refrain)
Car je suis le prince de l'Amûr
Le prince de l'Amûr
Que tu sois brune ou rouquine
Tu ne peux que m'aimer toujûrs
Tout a commencé au palais des reines
Des plus belles dames j'écoutais le chant
Elles me regardaient, esquissaient un sourire
Et moi je n'avais pas encore seize ans
Pas encore seize ans
Elles m'ont initié aux plus longues étreintes
A l'instant crucial qu'il faut retarder
Ah que j'ai peiné, la chair est si subtile
Qu'il faut des années pour la bien maîtriser
Pour la bien maîtriser
(Refrain)
Dans bien des repas c'était sous la table
Que se déroulait la conversation
Un coup de talon ou la douceur d'un voile
Tout était prémisse du premier frisson
Oui du premier frisson
Un peu de bon vin, quelques friandises
Une rose, une pensée et elle défaillait
Je donnais mon bras, elle se sentait conquise
La nuit promettait d'être bien étoilée
D'être bien étoilée
De tous les pays j'ai connu les femmes
Femmes de Paris ou bien d'Italie
Vous êtes absentes mais vous fûtes amantes
Jamais Godefroy ah ne vous oubliera
Ah ne vous oubliera
Je vous ferai parvenir d'autres coup de coeur de ce groupe que j'adore (en fait, que nous adorons tous en famille)